NUIT BLANCHE A LA PHILHARMONIE DE PARIS
Dialogue entre la musique pour piano de Brahms, donnée dans son intégralité par Nima Sarkechik au cours de cette nuit blanche, et des artistes venus d’autres univers musicaux mais aussi de la danse ou de l’art urbain.
La résidence de Nima Sarkechik au Triton, scène de musiques présentes des Lilas, a donné l’occasion au pianiste d’enregistrer et d’interpréter en six concerts l’intégrale de l’œuvre pour piano seul de Brahms, tout en bâtissant des ponts avec la création contemporaine par le biais de commandes passées à des compositeurs d’aujourd’hui. L’artiste s’invite à la Philharmonie pour une nouvelle version de ce projet excitant, donné cette fois en l’espace d’une nuit et articulé en écho à d’autres formes d’expression artistique : la musique du jazzman Benjamin Moussay, autre collaborateur régulier du Triton, ou d’Arash Sarkechik (frère de Nima), flûtiste de formation classique et jazz passé à l’électro ; la danse, ou plutôt les danses, d’Hervé Sika, Kaori Ito ou Jigsaw ; les graffitis d’Ekis, du collectif grenoblois Contratak, familier des collaborations avec les musiciens.
